Les grandes vacances arrivent à toute allure et avec elles l’éternel dilemme pour les parents : faut-il acheter des cahiers de vacances, imposer des devoirs, un calendrier, du stress, y compris à la plage ou au bord de la piscine ? On le sait tous, l’équation travail-temps libre est rarement facile à résoudre pour les parents responsables, tant la conception du devoir d’éducation et de transmission joue des coudes avec l’envie de faire plaisir à sa progéniture.
Et si la bonne idée était ailleurs ? Non pas que les cahiers de vacances ne soient pas recommandables mais ils gardent cette connotation barbante qui empêche souvent les enfants de s’y investir pleinement. Forts de ce constat, certains spécialistes prônent l’éducation par le divertissement, notamment par le biais des magazines pour enfants. De la naissance à l’adolescence, il en existe pour tous les âges. Bébépapoum et Mille et une histoires pour les petits petits – jusqu’à 7 ans, Pirouette ou Je lis déjà jusqu’à 10 ans et, pour les plus grands, Le monde des ados, Comment ça marche ou Les p’tites sorcières… Tous ces magazines (plus d’une quinzaine au total) sont publiés par le très sérieux éditeur Fleurus Presse qui garantit une qualité irréprochable et une ligne éditoriale sans bavure. Adapté à chaque tranche d’âge, le contenu est toujours pertinent : des imagiers pour enrichir le vocabulaire, des histoires pour apprendre à lire sur la plage ou avant de s’endormir. Les plus grands ne sont pas en reste puisqu’on trouve assez facilement des dossiers rudement bien construits qui permettent d’aborder les sujets en profondeur, de développer la curiosité et l’ouverture au monde…
S’il est difficile de les faire s’intéresser à des devoirs de vacances, on connaît le goût des enfants pour les nouvelles technologies qui les attirent plus encore qu’un pot de Nutella. Alors finis les livres tout moche avec de vieux exercices de maths ! Deux formules d’abonnement magazines numeriques sont justement proposées via le kiosque « Tout Fleurus » : 12 € par an pour les abonnés à un magazine version papier ou 39 € pour les autres. Les tarifs sont attractifs et l’utilisation fluide et intuitive : un passage au numérique parfaitement négocié. Et si certains d’entre vous hésitent encore, l’important n’est-il pas le résultat et non le moyen employé ? Les faire lire sur tablette, iphone ou ipad, c’est peut-être l’ultime ruse pour les ramener vers la culture et la connaissance… A méditer, sur la plage ou ailleurs !